Textes

Bon ce topic est pour les mordus de l'écriture (je ne me vise pas lol).


Donc ici... vous êtes libres d'écrire :
-Histoire
-poésie
-Texte
...

Mais pas de vulgaritée ou Les deux frère vous ferons passer un sal quart d'heure (Mon frère et moi quoi)



****************** Le Corbeau Mort ***************************

Je n'ai rien contre la vulgaritée ! Je suis moi meme pas mal vulgaire ! Mais ci ça dépasse les bornes ou que vous vous insultez, ou vas bannir !

moi même je n'ai rien contre elle mais... Pas trop pour les textes c'est tout

Il ne faut effectivement pas faire de texte trop vulgaire !

ET SI POSSIBLE EVITER LE LANGUAGE SMS !!!

Un trou noir s’est ouvert
fait de béton tordu
et de fer que l’on plie
et de chair que l’on hache
et des os que l’on broie


Ces regards qui pétillent
cette matière vive
que l’on transforme en steak


A peine est-elle hachée
que leur viande pourrit


Et ceux qui en réchappent
je cherche en leurs yeux morts
l’étincelle du rire
je n’y voie que le viol


Le rire des bouchers
me donne la nausée


Et la tache de sang
ravive sous l’écorce
d’autres taches de sang
qu’on pensait oubliées


Et la marche des tanks
je l’entends sourde au loin

juste pour poster qqch (nouveau membre oblige :-p ) jvais mettre des pitites étoiles si y a des mots suspects



cette nuit j'ai revé
que j'étais pres de toi
je t'écoutais respirer
tu m'as prise dans tes bras
je n'osais plus bouger
tu m'as dit "je n'aime que toi"
je n'ai pas repliqué
puis tu m'as dit "et toi?"
alors je t'ai regardé
et j'allais t'embrasser
quand soudain je me suis réveillée



(je sais pas terrible, mais bon voila quoi )

Un poème...

C'est quelque chose de véritable
Qui n'est pas effacable,
C'est un lien
Avec lequel on se sent bien.

Une personne qui vous écoute
Avec qui on fait un bout de route,
On en a besoin
Pour être quelqu'un.

Quelqu'un qui n'abandonne pas
Qui est toujours là quoi qu'il en soit,
Qui est à côté ou bien loin,
L'amitié n'en n'est pas moins.

Malgré de fragiles instants de douleur
ils s'effacent pour laisser place au bonheur
Dont la tendresse d'une étincelle
Se laisse graver dans le coeur pour l'éternel.

a quois sa sert on et tous mort
on a les tous les yeux crever
par les corbeaux
mais ou vas
notre ame démoniaque
en enfer pour aider
a trouver des nouvelles ames


( revoila une tirade de merde )

[…]
A quoi ça sert on est tous mort,
A quoi tu sert, je t’aime encore !
Batail déjà perdue, une histoire déjà entendue !
C’est pas que je croie en rien,
J’croie plus toujours ça me convient !
Je moi dort pas, je suis pas chez toi il fais trop froid !
J’ai perdu mon drapeau !
J’dirais plutôt que je les brûlé !
[…]
UN epartie de al chanson "Demain il PLeut" de Guerrila Pubelle !

j'aimerais me liberais l'espris
de tout se qui me cache la vue
de tout se qui conbutione ma vie
je saurais trouver mon issue

2 chose que je n'ai pas choisit
mon nom et le millieu d'ou je suis
le reste fait partit de mes choix
le reste doit partir en éclat

les mots
sont l'armes des menteur
mon égo
aime telement qu'on le flate
les détail
prénnent parfois de l'empleur

A la foi infinits
Tout en restant petits
Tel une biographie
Je peux y lir ta vie
Et bien plus captivant
Que la gravitation
D'une étoil à neutrons.
Jusqu'à Aldébaran
Plongé dans vos iris
Aussi douc que l'anis
C'est bien une galaxie
Que j'ai cru traverser
Quand ils m'ont regardé,
Ô doux yeux de ma mie.


vous en pensez quoi c'est mon premier blason (devoir de français)

je n'ait pas demander la vie
dieux me l'a influencer
mon ame ére dans un corp
sans aucun interet vital
je vais me tuer comme ca satan prendra mon ame
et ne la remétra pas dans un corp
ma conclusion dieu et un enfoirer
satan le gard cool

Ce monde??AHahah..comment le résumé??
Ce monde cruel et sans pitié,
Auxquel ont est censé s'opposer
Et tenir tête.
On se rend compte lorsqu'on grandi,
Que cette saleté de monde pourrie
Nous envenimes et nous fini.
Faudrait se battre,continuer,continuer...
Mais on a deja plus le courage
Pas étonnant qu'on est envie de se suicider
Que l'on ne veuille pas découvrir la vie davantage
S'exploser et se libérer.
On frappera a la porte de la mort,
Elle nous l'ouvrira grand en nous disant
Qu'on ne devrait pas avoir peur,
Mais qu'on pourrait enfin vivre et respirer
Comme pour la vie nous l'avions espèrer.

Corvus a écrit:

Il ne faut effectivement pas faire de texte trop vulgaire !

ET SI POSSIBLE EVITER LE LANGUAGE SMS !!!

C'est pas "si possible", c'est écrivez français c'est tout!

dart a écrit:

je n'ait pas demander la vie
dieux me l'a influencer
mon ame ére dans un corp
sans aucun interet vital
je vais me tuer comme ca satan prendra mon ame
et ne la remétra pas dans un corp
ma conclusion dieu et un enfoirer
satan le gard cool

Et écrire français, ça veut aussi dire faire attention à l'orthographe, une faute de temps en temps je dis pas mais là quand même...

La fin de Satan

Le soleil était là qui mourait dans l'abîme. L'astre, au fond du brouillard, sans air qui le ranime, Se refroidissait, morne et lentement détruit. On voyait sa rondeur sinistre dans la nuit ; et l'on voyait décroître, en ce silence sombre, Ses ulcères de feu sous une lèpre d'ombre. charbon d'un monde éteint ! Flambeau soufflé par Dieu ! Ses crevasses montraient encore un peu de feu. Comme si par les trous du crâne on eût vu l'âme. Au centre palpitait et rampait une flamme Qui par instants léchait les bords extérieurs, Et de chaque cratère il sortait des lueurs Qui frissonnaient ainsi que de flamboyants glaives, Et s'évanouissaient sans bruit comme des rêves. L'astre était presque noir. L'archange était si las Qu'il n'avait plus de voix et plus de souffle, hélas ! Et l'astre agonisait sous ses regards farouches. Il mourait, il luttait. Avec ses sombres bouches Dans l'obscurité froide il lançait par moments Des flots ardents, des blocs rougis, des monts fumants, Des rocs tout écumants de sa clarté première ; Comme si ce géant de vie et de lumière, Englouti par la brume où tout s'évanouit, N'eût pas voulu mourir sans insulter la nuit Et sans cracher sa lave à la face de l'ombre. Autour de lui le temps et l'espace et le nombre Et la forme et le bruit expiraient, en créant L'unité formidable et noire du néant. Le spectre Rien levait sa tête hors du gouffre. Soudain, du c½ur de l'astre, un âpre jet de soufre, Pareil à la clameur du mourant éperdu, Sortit, brusque, éclatant, splendide, inattendu, Et, découpant au loin mille formes funèbres, Énorme, illumina, jusqu'au fond des ténèbres, Les porches monstrueux de l'infini profond. Les angles que la nuit et l'immensité font Apparurent. Satan, égaré, sans haleine, La prunelle éblouie et de cet éclat plein, Battit de l'aile, ouvrit les mains, puis tressaillit Et cria : - Désespoir ! Le voilà qui pâlit ! - Et l'archange comprit, pareil au mât qui sombre, Qu'il était le noyé du déluge de l'ombre ; Il reploya son aile aux ongles de granit Et se tordit les bras.
- Et l'astre s'éteignit.

Victor Hugo

Encore des effort à faire en français , ok je me tais car si j'en fais une seule je vais me faire chambrer.

C'est un copier/coller !